31 janvier, 2007

Accro je suis! Accro je vous le dit!

Accro je suis! Accro je vous le dit!
Ces frémissements dans le dos, ces picottements dans chaques extrémités de mon corps, la montée de sang à mon cerveau...

Accro je suis, Accro! Vive les endorphines sur demandes!

1 commentaire:

Anonyme a dit...

La question qui se pose est évidemment de savoir si les endorphines créent un effet de dépendance identique à celui de la morphine. Sur ce point, les divers travaux sont rassurants car les endorphines, secrétées par l’organisme humain, sont rapidement détruites par ce même organisme. Il s’agit plutôt d’une dépendance psychologique, le sportif étant enclin à rechercher ce bien être et cette sensation de non fatigue par l’exercice physique. C’est plutôt une relation « affective » qui se crée entre le sportif et la course à pied notamment, relation qu’il sera chaque fois plus difficile d’interrompre.